Pour donner la forme au gâteau, j'ai prédécoupé dans une chemise cartonnée, un coeur. Puis ai adapté un moule en conséquence (fait de papier cuisson) :

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Préparation de la génoise :

Recette de base :

4 oeufs (jaunes / blancs séparés battus en neige incorporés en fin de préparation)
125 g de sucre
1 sachet vanille
75g de maïzena
25g de farine
1 pincée de sel
1/2 sachet de levure chimique

Pour l'occasion, et vu la grandeur du moule, j'ai multiplié ces qtés par 4 !

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remplissage du moule :

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Attention il faut que les bords du moule soient assez hauts, car la préparation monte durant la cuisson !



Cuisson dans le four à 180 ° pendant 35/40 mn (le temps dépendra de la qté de pâte) :

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Laisser refroidir et démouler. Découper selon la forme choisie (opération assez difficile car je n'ai pas le matériel adapté !) :

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Puis j'ai découpé en 2 le coeur à l'horizontal, enduit l'intérieur d'un sirop fait d'eau, de sucre et d'arôme de fraise.






Garniture de la génoise :

Mousse de framboises :

J'ai acheté des framboises brisées surgelées chez PIC..D, que j'ai décongelées et réduites en purée. Je les ai mélangées à 2 blancs d'oeufs préalablement battus en neige avec 1 pincée de sel, 90 g de sucre et 15 cl de crème fraiche.


J'ai garni généreusement de cette mousse, une tranche du coeur, puis j'ai recouvert par l'autre tranche.


J'ai recouvert de gelée de mûres le dessus du coeur, l'ai garni de framboises entières surgelées décongelées.

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Réfrigérer et NE METTRE LA CHANTILLY QU'AU DERNIER MOMENT. Sinon elle risque de s'écrouler.


Pour décorer les bords du gâteau, j'ai fait de petits sablés en forme de coeur ...

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C'est donc la première fois que j'inaugure mon "majmar" (brasero) ...

On est encore en hiver, bien que les journées soient plus ensoleillées, les soirées sont encore fraîches et je ne peux pas "cuisiner" en extérieur.Donc, en "totale impro", on a décidé de l'utiliser en cuisine ...

L'odeur du charbon de bois imprègne encore l'appartement ...

Voilà où je l'ai installé :

Je pense qu'on fera différement la prochaine fois, notamment pour l'allumage et la prise du charbon de bois ...

Ah si mon prioprio le savait !!!!

Passons à la fameuse recette, inspirée de l'une de Choumicha :

Avant cuisson :

Ingrédients :

- 4 darnes de cabillaud,

- Quelques olives violettes,

- 1 citron confit coupé en lanières,

- Branches de coriandre,

Pour la Chermoula :

- 2 gousses d'ail coupés en petits dés ou hachés,

- 2 pincées de pistils de safran dilués dans 5 cl d'eau,

- 1/ cc de curcuma ou safran synthétique pour colorer davantage,

- 3 CS de coriandre hachée,

- 1/2 cc de poivre,

- 1/2 cc de sel,

- 8 cl d'huile d'olive et d'huile de tournesol mélangées.

Dans un récipient, préparer la chermoula en mélangeant les herbes, les huiles, l'ail et les épices.

Laisser mariner les darnes pendant au moins 1 heure.

Dans le fond du tajine, disposer la coriandre en quadrillage.

Y dresser les darnes, garnir avec les olives, les lanières de citron confit,

Arroser avec le reste de la chermoula.

Couvrir le tajine et le faire cuire sur le majmar ou sur votre foyer habituel

(sur le majmar, cela a mis 1 heure)

Difficile époque que celle que nous traversons ... Révoltes en Tunisie à cause d'un gouvernement mis en place depuis trop longtemps. Je ne vais pas entrée dans un débat politiques sur ce blog, je veux juste faire part à nos amis et frères Tunisiens, de mon soutien, de courage et de patience. Votre fierté est dans vos actes, vous avez mérité cette liberté.

Qu'elle puisse rester intacte et gardez votre pays libre. bon courage pour la suite ! J'ai aimé venir sur vos terres il y a quelques années, en hommage, je ressors mes écrits d'époque sur un prochain billet !

Vive la tunisie libre !

Asalam aleykoum !

Bienvenue en TUNISIE ! Je vais essayer de vous conter toute la magie d'une région de TUNISIE, à travers mon séjour.

Nous sommes partis une semaine (dernière d'avril) pour la TUNISIE. A l'aide de nos guides virtuels, récits de pros de la TUNISIE, on a découvert une région A VOIR et rencontrer des gens très accueillants et ouverts, prêts à nous enrichir, culturellement parlant, davantage.

Notre hôtel, le DAR NAOUAR (la maison des fleurs), était situé dans la banlieue Nord de TUNIS, à quelques 20taines de KM du centre de la capitale.
Ce qui nous a permis un point de départ très intéressant vers les villes phares de notre itinéraire, réfléchi.

Premier jour : Arrivée à 17 h (1 heure de décalage en - avec la FRANCE)
Juste le temps de faire le tour du propriétaire, la nuit tombe vite là bas.

Second jour : TUNIS . La capitale ! Prise de contact avec le fontionnement des bus, trains, tramway et métro. Petit tour sur les "Champs Elysées Tunisois" : avenue H.BOURGUIBA : ses hôtels luxueux, ses magasins aux vitrines alléchantes (les patisseries bien sûr), les cafés aux terrasses humaines.
Entrée dans la Médina (un monde à elle toute seule : mosquées, médersa, zaouïa), Petite traversée des Souks, que nous aborderons plus tard et traversée de la ville pour trouver le Parc du Belvédère (et c'est quelque chose de traverser toute une ville quand on ne sait pas où on va).
Au menu : Couscous au poisson.

Troisième jour : HAMMAMET / NABEUL . Lourd programme pour une journée, mais pas de place pour les états d'âmes !! 60 km au sud de TUNIS. On est partis en train, revenus en Bus.

HAMMAMET : visite de la médina, du fort (quelle vue splendide du haut du fort malgré un vent terrible), vue de la plage et mer -) trop de vent.

NABEUL : la capitale de la poterie. Petit tour dans les magasins de poterie, fabriques artisanales. Traversée de la ville ornée de petites échoppes.
Au menu : poulet frites.

Quatrième jour : Départ pour KAIROUAN . La ville sainte du Maghreb. Partie en car de TUNIS, à 160 km de TUNIS. Long voyage qui a mis environ 3 heures, mais découverte de villes et de paysages (derrière les vitres) que l'on aurait jamais vus sans cette traversée !!

KAIROUAN : ville chargée d'histoire, cité religieuse. Visite de la Médina, de la grande Mosquée, des bassins des Aghlabides, des zouïa, des remparts et des souks. Grosse chaleur ce jour là !
La ville est aussi reconnue pour ses fabriques de tapis et la reine de conception des Makrouds.
Au menu : Couscous poulet
En fin de journée, départ pour SOUSSE (soixante de km environ)

Cinquième jour : SOUSSE / PORT EL KANTAOUI / MONASTIR .
Encore un lourd programme marathonnien !

SOUSSE : visite de la médina, des remparts, de la grande mosquée, des souks. Ville assez moderne dans son nouveau centre ville, aux resto internationaux, aux hôtels chics et renommés (chaine ABOU NAWAS).
Petit port sympa, agréable en cette saison.
Autre visage de la TUNISIE : celle livrée au touristes (allemands) en l'occurrence.
Avec PORT EL KANTAOUI, ce sont 2 endroits vraiment voués au tourisme.
Donc virée vers PORT EL KANTAOUI en fin de matinée, avec tout son modernisme, crée pour l'occasion d'un petit coin oriental autour d'une marina. Bon, on aime ou pas. Pas vraiment grand chose à voir (à notre goût) sous une couverture de nuages et pluie fine.

MONASTIR : station balnéaire, qui doit sa renommée à l'ancien président, HABIB BOURGUIBA, à qui la TUNISIE doit l'Indépendance. Petite visite dans la ville, sa médina, la mosquée Bourguiba, et du mausolée Bourguiba (impressionnant).
Puis retour vers TUNIS en taxi louage (chouette encore un nouveau moyen de transport).

SIXIEME JOUR : CARTHAGE / SIDI BOU SAID / LA MARSA
Carthage : Lieu mythique. On replonge 25 siècles en arrières. Visite des vestiges de la période punique et des vestiges de la période romaine : thermes d'Anthonin (génial), musée national de Carthage, l'acropolium, ville romaine.
Découverte en haut d'un chemin de la future mosquée de Carthage, monumentale.
Sidi Bou Saïd : Le comble de la joliesse. Quelle douceur, ce village, ces ruelles sans fin, tranquilles, accroché au flanc du djebel Manar, qui domine tout le golfe de Tunis ... Sous un soleil honorifique 
Visite du dar el Annabi, demeure familiale richement décorée ouverte au public.
La Marsa : Petit tour dans la ville, du centre commercial "le Zéphyr".
Au menu : Couscous légumes (j'adore le couscous)

SEPTIEME JOUR : TUNIS .
Là, je commence à fatiguer !! Tour de la ville, des quartiers de la Médina non encore visités, des quartiers des ministères, derniers achats pour les souvenirs et la famille.Dans les souks : galeries sans fins d'échoppes où tout le monde trouve son bonheur. Chaque souk, entremelé aux autres, a une particularité : souk des laines, des cuivres, des bijoux... Mais cela a tendance à disparaitre pour laisser place aux souks pour touristes. Dommage, car intéressant comme système, une fois qu'il est acquis !
Et aurevoir à TUNIS !
Au menu : Salade tunisienne / riz aux fruits de mer (trop épicé pour moi)
HUITIEME JOUR : Départ de TUNIS à 8h00, heure tunisienne.

Voilà le bref résumé de notre séjour. Je ne peux vous traduire tous les souvenirs perso qui l'accompagnent, ni embaumer de parfum de jasmins et de fleurs d'orangers qui me font frissonnée à chaque fois que j'y pense,
mais celles qui les ont vécus me comprendront ...

Asalama TOUNSIA !

Le 02 février, c'est la Chandeleur. Mais d'où vient cette fête ?

Traditions païennes, religions juive, chrétienne, croyances, la Chandeleur a de multiples origines ; pour certains, il s'agit d'une fête romaine (on fêtait les Lupercales, fêtes inspirées de Lupercus, dieu de la fécondité...), pour d'autre, d'une fête chrétienne (les chandelles bénites rappellent que le Christ est la lumière du monde), et chez les celtes, un rite lié à la purification.... La fête de la Chandeleur est un symbole de prospérité, une fête qui célèbre la lumière, la purification, la fécondité...

Pour moi, c'est la fête des crêpes !

Voici la recette que j'utilise :

Pour 6 à 10 crêpes selon la taille et l'épaisseur :

- 1/2 de lait,

- 250 g de farine  T45  fluide,

- 1 pincée de sel,

- 1 sachet de sucre vanillé.

Placer dans cet ordre dans le blender, laisse tourner quelques instants, afin que tout se mélange et afin d'obtenir une pate bien lisse.

Verser dans un grand saladier, puis laisser reposer au réfrigérateur quelques heures, voire une nuit.

Prendre une poêle à crêpes, huiler un essuie-tout, puis imbiber la poêle.

Faire chauffer, puis verser une petite quantité de pâte afin de la cuire.

Retourner ou faire sauter pour les pros ....

A ce qu'il paraît, il fait partie des plats préférés des Français !

C'est un plat délicieux et équilibré. On peut varier l'accompagnement du couscous (semoule) à volonté.

Voici l'une des variantes :

Ingrédients :

500 g de couscous fin

Huile d'olive

Eau tiède

Epaule d'agneau (800 g à 1 kg)

Epices : gingembre, safran, sel, poivre

(Pois chiches)

(1 à 2 CS de concentré de sauce tomate)

4 à 5 Carottes

2 courgettes

1 bouquet de coriandre

(2 à 3 navets)

(Quartier de potiron)

Beurre

1 - Préparer la graine de couscous :

Peser 500 g de couscous fin (je préfère le fin, mais rien ne vous empêche de prendre du moyen). Le mettre dans un grand plat un peu profond, pour qu'il soit bien étalé.

Verser une CS d'huile d'olive, mélanger à la graine.

Prendre un petit bol d'eau tiède, asperger le couscous,  jusqu'à ce que chaque grain soit bien imprégné.

Laisser reposer une dizaine de minutes avant de bien séparer les grains, à la main.

2 - Le bouillon :

Pour cette recette, j'ai choisi de servir le couscous avec de l'épaule d'agneau (800 g à 1 kg).

Dans le bas du couscoussier, mettre de l'huile d'olive, y faire rissoler l'oignon haché, y ajouter la viande, les épices (gingembre, safran, sel, poivre).(et evéntuellement les pois chiches)

Couvrir d'eau (éventuellement additionnée de 1 à 2 CS de concentré de sauce tomate), à hauteur de la viande.

3 . Cuisson et préparation du plat :

Faire cuire à gros bouillons afin de couvrir le haut de couscoussier garni de semoule de couscous. NE PAS COUVRIR.

Lorsque la vapeur s'échappe de la semoule, compter 20 minutes.

Au bout de ce temps, étaler la semoule dans le grand plat un peu profond, laisser reposer une dizaine de minutes, baisser un peu le feu, sous le bouillon.

Asperger d'eau, bien séparer les grains, bien soulever la masse afin que la semoule puisse être aérée, et ainsi, gonfler.

Ajouter les carottes, dans le bouillon (éventuellement les navets, les pommes de terre), remettre à bouillir.

Reposer le haut du couscoussier garni de la semoule.

Attendre que la vapeur s'échappe et compter 15 minutes.

Mettre à nouveau la semoule dans le plat, laisser reposer. Puis, asperger d'eau, aérer et ajouter du beurre. Mélanger délicatement afin d'imprégner les graines.

Terminer la cuisson du bouillon avec des courgettes coupées en 4 et débarrassées de la moitié de leur peau pour éviter l'amertume de ce légume (éventuellement des morceaux de potiron, sur lesquels on laissera la peau pour que le légume ne se décompose pas dans le bouillon) puis le bouquet de coriandre.

Remettre une dernière fois dans le haut du couscoussier la semoule, laisser échapper la vapeur et cuire pendant une petite dizaine de minutes.

Vérifier que tout est bien cuit et servir !

Le couscous sur la photo est présenté ainsi sur la table. Selon vos habitudes, vous pouvez le servir en assiettes ou manger tous dans ce plat ...

Une recette toute simple, rapide à réaliser. LE gâteau idéal en toute circonstance, pour accompagner thé, café ou pour un goûter d'enfants.

Aidé par un robot culinaire (pour moi, c'est le Kitchenaid, faudra que je vous le présente un jour ...), la réalisation est d'autant plus simplifiée : aucun prétexte pour le louper !

(Le pot de yaourt servira de mesure)

Préchauffer le four à 180°.

Mélanger dans le bol du robot :

1 yaourt nature

4 oeufs

1 pot d'huile d'arachide

2 pots de sucre

3 pots de farine

1 sachet de levure chimique

Battre le mélange, dans un premier temps doucement, puis plus rapidement afin que la pate soit plus fluide.

Verser le tout dans un moule à savarin (beurré et fariné au besoin), puis enfourner pendant 30/35 mn selon le four.

Sortir le gâteau et laisser refroidir avant de couper en parts.

En pleine saison de la-dite bûche, voilà la recette que j'utilise depuis quelques années.

J'ai essayé de changer de garniture cette année, à mon grand regret ! Je reviendrai très vite vers celle que je fais habituellement !

C'est l'une de mes collègues (que je ne citerai pas, mais qui se reconnaitra si elle me lit) qui m'en a donné l'idée.

En fait, le gâteau est une génoise, la garniture et l'enrobage une mousse au chocolat.

Je trouvais les crèmes au beurre trop lourdes après un repas plus conséquent. Donc, l'idée de la mousse m'a tout de suite attrirée, en voici la recette :

- A noter, qu'il vaut mieux s'y prendre la veille -

1 - Confection de la génoise : (je me suis inspirée de la recette de Nadia, voir son site, il regorge de merveilles !)

4 oeufs

100g de sucre

1 pincée de sel

125 g de farine

Aidée du robot culinaire .... Dans un premier temps, mélanger les oeufs, le sucre et le sel. Les battre pendant 10 mn, afin que le mélange triple de volume.

Préchauffer à 190°.

Puis incorporer la farine (pas au robot, à la main !) en 4 fois, à l'aide d'une spatule et en soulevant la masse, pour ne pas faire tout retomber.

Etaler la pâte sur un papier de cuisson, sur une plaque patissière.

Enfourner, puis laisser cuire 8 à 10 mn selon le four. Bien surveiller la cuisson, il faut que la pâte dore à peine.

Puis la sortir, la laisser refroidir 5 mn puis l'enrouler avec le papier sulfurisé. Recouvir le tout d'un torchon humide.

Laisser refroidir. Confectionner pendant ce temps la mousse au chocolat.

2 - La mousse au chocolat : (j'utilise celle inscrite sur les tablettes Nestlé, depuis des années)

1 tablette de chocolat 200 g patissier

6 oeufs

1 pincée de sel

Faire fondre le chocolat cassé en petits morceaux au bain-marie ou à feu doux.

Lorsqu'il est complètement fondu, remuer délicatement pour obtenir une pâte lisse.

Retirer du feu et laisser tiédir. Casser les œufs en séparant les jaunes des blancs.

Ajouter le sel dans les blancs et les battre en neige très ferme.

Verser peu à peu le chocolat fondu sur les jaunes d'œufs en mélangeant énergiquement.

Incorporer délicatement avec une spatule 1/3 des blancs d'œufs battus puis ajouter le reste progressivement en soulevant la préparation de bas en haut pour bien répartir le chocolat sans faire tomber les blancs.

Faites prendre la mousse 3 heures minimum au réfrigérateur.

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Il est temps de confectionner la bûche !

Reprendre la bûche qui refroidissait dans son torchon. La dérouler délicatement, Répartir un peu de mousse sur la génoise dépliée, puis la ré-enrouler petit à petit, en la serrant bien.

Couper les bords, qui pourront paraître inesthétiques.

Enduire la bûche extérieure de mousse, puis lui dessiner à la fournchette de belles striures afin qu'elle ressemble au bout de bois que l'on pourrait trouver en forêt ...

La décorer de petits objets ou de champignons en meringue.

Ingrédients :

4 darnes de cabillaud

1 oignon

300 g de carottes

1 grosse tomate

5 gousses d'ail

Jus d'un citron

4 Cs d'huile d'olive

1 sachet de faux-safran

1 cc de cumin

1 cc de paprika

Coriandre

Sel

Dans un récipient, préparer la marinade composée de la tomate coupée en dés, les gousses d'ail écrasées, la coriandre hachée,  le jus du citron, l'huile d'olive, le sel.

Mettre les darnes de cabillaud dans cette marinade, bien imprégner les morceaux de celle-ci et laisser reposer une heure (ou + si vous en avez la possibilité).

Dans le tajine, mettre l'huile à chauffer. Lorsque l'huile est chaude, y faire revenir l'oignon coupé en lanières.

Le faire légèrement rissoler, puis ajouter les carottes coupées en bâtons, le poisson puis la marinade restante, un petit peu d'eau.

Laisser cuire 45 mn environ.

Nous célébrons aujourd'hui l'Aïd el Kébir (la grande Fête) ou aussi appelé Aïd el Adha, (jour du sacrifice).

Dans chaque famille qui en a les moyens, on sacrifie un mouton .

C'est une fête très importante chez les musulmans.

C'est une fête de partage, qui a lieu 3 jours, on n'oublie pas les gens seuls, on visite nos familles, amis.

Pour rester dans le domaine culinaire, j'ai trouvé cette image sympathique :